).L’initiation par l’esprit est en rapport symbolique avec la prise de conscience d’un point de retournement cosmogonique et éthique.
Elle a trait à l'essence même des choses. des mots rares et anciens Cette approche est fort ancienne : Elle nécessite l’usage de clé pour ouvrir les portes qui donnent accès à la connaissance. Mais aujourd'hui, plus que jamais peut-être, la Franc-Maçonnerie doit rester cet Ordre Initiatique qui transmet la Tradition. 2 Passim dans ses œuvres et spécialement ses correspo ndances, ses quatre chapitres sur la Russie.Autant d’explications qui n’en disent pas bien long sur ... sur l’initiation. La fraternité ne tient que par l’amour au sens du Nouveau Testament. Agape nom féminin, les dictionnaires distinguent le singulier du pluriel. N° de page : 3xxx = 1er degré, 6xxx = 2éme degré, 7xxx = 3éme degré, Axxx = Hauts Grades, Rxxx = Recueils Ce miroir fut la conscience de soi, un moyen de voir en soi. Il s’agit encore d’une fête de la lumière, qui cette fois-ci renaît en l’homme, en son cœur comme le nouveau-né dans la grotte.Au moment où le Soleil atteint son apogée, la lumière spirituelle trouve la perfection de sa forme concrète et porte en elle toutes les potentialités d’une moisson abondante tant matérielle que spirituelle.
Elle tait au commencement avec Dieu. Notre Déclaration de Principes dit expressément ceci : « La Grande Loge de France ni ses Loges ne s'immiscent dans aucune controverse touchant à des questions politiques ou confessionnelles. Nous aurons un Saint-Jean dédié à la frontière des petits mystères antiques et un Saint-Jean dédié aux limites inférieures des grands mystères. A partir du jour et de la nuit synonyme de bien et de mal, va naître l’éthique. chargé de parfums, de senteurs, de couleurs, de mystère et parfois de frisson …le sens qu’on lui ), Droit Humain (D.H.), Grande Loge de France (G.L.F.) La Franc-Maçonnerie est donc un des rameaux de cette tradition primordiale qui se perd dans la nuit des Temps. Traditions, rituels et résurgences des fêtes de la Saint Jean et du solstice d'été 1. C’est le plus haut sociétal qui donne les bornes dans l’agir et la morale, mais ce plus haut sociétal puise ses propres limites ou les justifient dans une pseudo origine divine. Ce travail de représentation mentale s’associe au langage du symbole et trouve à développer l’idée que la clef de lecture du monde se cache derrière les apparences.Cette clef de lecture est du domaine de la révélation par le jeu de l’intuition imagée et représentée mentalement. Les deux Saint-Jean vont encadrer la psyché comme ils encadrent la lumière et l’esprit.Dans tous les cas nous pouvons dire que si l’homme est à l’image du divin c’est parce que l’homme peut concevoir le sacré comme une « présence » dans le particulier comme dans l’universel. — En cela elle est fixe —. Vocabulaire, orthographe, grammaire Il est de Tradition constante dans notre Rite, de célébrer les deux Saint-Jean, la Saint Jean Baptiste au solstice d'été et la Saint Jean l’Évangéliste au solstice d'hiver. Ce n'est pas notre propos aujourd'hui. Ainsi une colonne ne vaut que par sa base, le franc-maçon apprend à conjuguer les deux points d’appui de toutes spiritualités: le lieu et la pensée structurée du plus haut.Le futur Christ du Nouveau Testament se tient dans le juste milieu qui est le centre d’une croix tridimensionnelle, comme le fera Saint-André suivant la légende. L’image archétypale des trois croix sur le sommet du Mont du Crâne (Golgotha) est suffisamment explicite, et suggère qu’entre les deux croix-colonnes se situe une troisième sommitale plus élevée.Il ouvre la voie de l’esprit et de sa renaissance en soi, telle la lumière oubliée qui rejaillit des ténèbres. Mais il ne peut le faire qu'à titre individuel, et à titre individuel seulement. La Présence surplombante donnera la supraconscience en soi, comme le Temple de Salomon donnera le temple intérieur !C’est elle, la « présence », qui va définir l’implantation de la porte du soleil levant appelée porte des Dieux et la porte du soleil couchant appelée porte des Hommes. C’est ainsi que, suivant les convictions éthiques de chacun, le divin descendit dans l’homme universel, ou que l’homme inventa le divin.