En attendant ce moment, puissions-nous tous être ses imitateurs, comme il nous exhorte à l’être en 1 Corinthiens 4:16; 11:1; Philippiens 3:17.Au temps de Salomon, Israël adorait Ashtoreth ou Astarté («étoile»), divinité des Sidoniens (1 Rois 11:33; 2 Rois 23:13) qui correspondait à la planète Vénus, divinité féminine, comme Baal désignait une divinité masculine, mais ce nom générique s’appliquait à diverses divinités. En disant cela au Seigneur, Paul pensait, sans doute, qu’avec de tels antécédents, il était propre à convaincre les Juifs, pour qu’ils se convertissent, comme lui-même l’avait été, après avoir été ennemi de Christ. Nous aurons l’occasion de voir de quelle manière merveilleuse cette puissance, qui avait ébranlé le lieu où les apôtres étaient assemblés, les accompagna dans la suite.(v. Mais pour que les accusations portées contre Étienne fussent admises par ce tribunal religieux, selon la loi (Deut. — Les serviteurs de Corneille se mirent en route pour Joppé. Ne fallait-il pas que le Christ souffrît ces choses et qu’il entrât dans sa gloire? Dieu tenait compte de leurs anciennes relations avec lui en leur faisant annoncer l’Évangile en premier lieu. 16:1-3 (voir encore 2 Corinthiens 8 et 9 et Romains 15:25 et 27, épître que Paul écrivit aussi pendant ce voyage).Arrivé en Grèce, il y séjourna trois mois, durant lesquels il put revoir l’assemblée de Corinthe, et songeait à se rendre par mer en Syrie pour aller à Jérusalem. Malgré la puissance apparente à laquelle ils prétendaient encore, Saul s’appuyait sur un roseau cassé pour donner essor à sa rage contre les disciples du Seigneur. Plus tard les croyants juifs apprirent à rompre entièrement avec tout ce qui constituait le culte lévitique.Ces croyants prenaient aussi leur nourriture avec joie et simplicité de cœur et louaient Dieu.
24:23). Ils participent aux joies et aux peines de la famille chrétienne et apprennent la dépendance de Dieu en assistant à la lecture et à la prière de famille. On fit la même remarque à propos du Seigneur. Les miracles, destinés à son établissement au milieu de Juifs hostiles et de païens superstitieux, n’ont donc plus leur raison d’être. En vertu de cette prière, Dieu, par la bouche de Pierre, leur offre de se repentir afin que le Seigneur revienne du ciel et leur apporte les bénédictions dont ils s’étaient privés en le mettant à mort: «Et maintenant, frères, je sais que vous l’avez fait par ignorance, de même que vos chefs aussi; mais Dieu a ainsi accompli ce qu’il avait prédit par la bouche de tous les prophètes, savoir que son Christ devait souffrir» (v. 17, 18). La conscience est la faculté, obtenue par la chute, de discerner entre le bien et le mal. C’est ainsi que beaucoup prêchent Christ aujourd’hui. «Mais Saul se fortifiait de plus en plus, et confondait les Juifs qui demeuraient à Damas, démontrant que celui-ci était le Christ» (v. 22).
Tout ce qui les séparait avait pris fin dans la mort de Christ, qui a «détruit le mur mitoyen de clôture» et les a réconciliés «tous les deux en un seul corps à Dieu par la croix, ayant tué par elle l’inimitié» (Éph. Il n’allait pas dans le but de travailler au milieu des Juifs incrédules, car il se proposait, après avoir accompli son service d’amour envers ses frères, d’aller à Rome et en Espagne. La foi reconnaît toujours les choses comme Dieu les a établies, malgré la confusion et le désordre qui résultent de l’infidélité de l’homme.Le motif de sa comparution établi, Paul continue: «Pourquoi, parmi vous, juge-t-on incroyable que Dieu ressuscite des morts?» (v. 8). 23-27).
Comme ils le haïssaient tout particulièrement, l’ennemi se servit d’eux pour mettre un terme à sa liberté dans le service du Seigneur, qu’il continua sous une autre forme en rendant témoignage comme prisonnier à Césarée devant Agrippa et à Rome devant Néron, alors empereur, et aussi, par ses épîtres qu’il écrivit de Rome; car, comme il le dit en 2 Timothée 2:9: «Toutefois la Parole de Dieu n’est pas liée».Ces méchants prétendaient que Paul amenait des Grecs dans le temple, une profanation sous la loi, parce qu’ils avaient vu Trophime d’Éphèse avec lui (v. 29). Le Seigneur va le montrer en lui arrachant des mains le plus énergique instrument de sa haine pour en faire son grand serviteur par lequel il édifiera l’Assemblée que Saul voulait détruire. Craignant que les prisonniers ne s’enfuient, les soldats proposèrent de les tuer; mais le centurion, voulant sauver Paul, les en empêcha.
Les Juifs ne voulurent écouter ni les prophètes, ni le Seigneur, ni les apôtres; ils fermèrent volontairement leurs oreilles. Il continue en disant qu’il avait pensé qu’il fallait «faire beaucoup contre le nom de Jésus le Nazaréen»; comment il avait fait souffrir les saints; comment, en les punissant, il les contraignait à blasphémer; comment, transporté de fureur, il les persécutait jusque dans les villes étrangères.
Tu n’as ni part ni portion dans cette affaire; car ton cœur n’est pas droit devant Dieu.
La réponse de Pierre signifiait non seulement qu’il n’était pas un être céleste ou divin, mais qu’il était,Pierre exposa aux personnes assemblées comment il avait été conduit à venir à eux.
24:23). Ils participent aux joies et aux peines de la famille chrétienne et apprennent la dépendance de Dieu en assistant à la lecture et à la prière de famille. On fit la même remarque à propos du Seigneur. Les miracles, destinés à son établissement au milieu de Juifs hostiles et de païens superstitieux, n’ont donc plus leur raison d’être. En vertu de cette prière, Dieu, par la bouche de Pierre, leur offre de se repentir afin que le Seigneur revienne du ciel et leur apporte les bénédictions dont ils s’étaient privés en le mettant à mort: «Et maintenant, frères, je sais que vous l’avez fait par ignorance, de même que vos chefs aussi; mais Dieu a ainsi accompli ce qu’il avait prédit par la bouche de tous les prophètes, savoir que son Christ devait souffrir» (v. 17, 18). La conscience est la faculté, obtenue par la chute, de discerner entre le bien et le mal. C’est ainsi que beaucoup prêchent Christ aujourd’hui. «Mais Saul se fortifiait de plus en plus, et confondait les Juifs qui demeuraient à Damas, démontrant que celui-ci était le Christ» (v. 22).
Tout ce qui les séparait avait pris fin dans la mort de Christ, qui a «détruit le mur mitoyen de clôture» et les a réconciliés «tous les deux en un seul corps à Dieu par la croix, ayant tué par elle l’inimitié» (Éph. Il n’allait pas dans le but de travailler au milieu des Juifs incrédules, car il se proposait, après avoir accompli son service d’amour envers ses frères, d’aller à Rome et en Espagne. La foi reconnaît toujours les choses comme Dieu les a établies, malgré la confusion et le désordre qui résultent de l’infidélité de l’homme.Le motif de sa comparution établi, Paul continue: «Pourquoi, parmi vous, juge-t-on incroyable que Dieu ressuscite des morts?» (v. 8). 23-27).
Comme ils le haïssaient tout particulièrement, l’ennemi se servit d’eux pour mettre un terme à sa liberté dans le service du Seigneur, qu’il continua sous une autre forme en rendant témoignage comme prisonnier à Césarée devant Agrippa et à Rome devant Néron, alors empereur, et aussi, par ses épîtres qu’il écrivit de Rome; car, comme il le dit en 2 Timothée 2:9: «Toutefois la Parole de Dieu n’est pas liée».Ces méchants prétendaient que Paul amenait des Grecs dans le temple, une profanation sous la loi, parce qu’ils avaient vu Trophime d’Éphèse avec lui (v. 29). Le Seigneur va le montrer en lui arrachant des mains le plus énergique instrument de sa haine pour en faire son grand serviteur par lequel il édifiera l’Assemblée que Saul voulait détruire. Craignant que les prisonniers ne s’enfuient, les soldats proposèrent de les tuer; mais le centurion, voulant sauver Paul, les en empêcha.
Les Juifs ne voulurent écouter ni les prophètes, ni le Seigneur, ni les apôtres; ils fermèrent volontairement leurs oreilles. Il continue en disant qu’il avait pensé qu’il fallait «faire beaucoup contre le nom de Jésus le Nazaréen»; comment il avait fait souffrir les saints; comment, en les punissant, il les contraignait à blasphémer; comment, transporté de fureur, il les persécutait jusque dans les villes étrangères.
Tu n’as ni part ni portion dans cette affaire; car ton cœur n’est pas droit devant Dieu.
La réponse de Pierre signifiait non seulement qu’il n’était pas un être céleste ou divin, mais qu’il était,Pierre exposa aux personnes assemblées comment il avait été conduit à venir à eux.