Du grand cinéma culotté par un cinéaste dont le manque de reconnaissance est injuste...Une fresque de 3h20 aussi ambitieuse, c'est quelque chose de rare et précieux dans le cinéma français. Il nous offre une superbe séquence évoquant la légende des abeilles d'Israël et un habile matching entre les "reconstitutions historiques" de grande qualité et de jolis moments présents. Difficile à dire. Idem pour le plat principal très peu copieux, servi à peine tiède. Outre la présence constante d'une bande musicale de qualité, le film nous propose un casting de choix avec l'excellent Gérard Lanvin, omniprésent et toujours juste dans son personnage de légende gitane ; De bons Patrick Chesnais et Vincent Lindon, un émouvant Paul Préboist dans la peau du prof Mr Tricot. Mauvais car besogneux, mais plutôt immersif.ce film nous renvoit a nous meme et nous touche ! Troisième plat: un dessert aux pommes. Leuk-le-lièvre, bien sûr!

Et la ganache chocolat/ caramel: wow!

Ce n'est pas un hasard ni une coïncidence si elle nous apporte des sourires, des rires et de grandes émotions. Je voulais faire connaître cet endroit pour l'anniversaire de ma mère et même elle a tout simplement été conquise. Premier service:...Cherchant un restaurant ouvert le dimanche midi offrant autre cuisine que le brunch....j'ai trouvé ce restaurant par hasard sur internet. Second plat: filet d'épaule de boeuf. La Belle Histoire est un hymne à la vie, un conte de fées, un opéra Gitan, C'est en tournant le dernier plan de Il y a des jours et des lunes, lorsque Gérard Lanvin est cloué sur une voiture avec un couteau dans le ventre, comme le Christ sur sa croix, que les images de La Belle histoire sont devenues évidentes " explique Claude Lelouch.

Nous logions à l’Esterel et voulions découvrir autre choses que le resort. L'univers, Jésus, l'éternel recommencement et le tout recouvert de Gypsy king et de taureaux...Mais oh quoi enfin ils ont de la m**** dans les yeux les 73% Critique des Événements Culturels.

On...Nous avons adoré le repas et l’expérience en général. On voit que les produits de saison et d’origine locale sont à l’honneur. En l’occurrence, la scénariste et réalisatrice Zoé Wittock s’est inspirée, pour le concept et non l’histoire, d’Erika Eiffel, qui épousa la tour Eiffel en 2007. On en a marre, c'est pénible mais on est des marathoniens, alors on tient ! Fidèle à ses superstitions et ses symboles éculés l'ami Claude nous ressert ses sempiternels questionnements existentiels pour une gigantesque cacophonie visuelle : destins, hasards, coïncidences, éventualités, sensations de déjà-vu... Ca sent furieusement l'ultime fourre-tout moins tire-larmes que gentiment attachant, curiosité à la fois ridicule dans ses connotations maladroites et magistrale dans son interprétation. Les actrices ne sont pas en reste avec un émérite duo de choc : Isabelle Nanty et l'impertinente et savoureuse Béatrice Dalle.

Au départ on rit bien pendant une heure, on se dit c'est pas possible, il va aller jusqu'où comme ça ? Qui sommes-nous ? Et parmi ses plus intéressantes découvertes, il y a l'homme. C'est insultant, pour manger si peu sur de l'arborite..! Intelligence.Le pavé de flétan mérite lui aussi de rester en mémoire.

Nous avons donc eu droit à un diner chez l'habitant presqu'au prix de l'Européa de Jérôme Ferrer.mousse de foie de volaille. Oubliez également ces clichés outranciers, ces stéréotypes un peu faciles, oubliez Gérard Lanvin en Jésus, oubliez Gérard Darmon pour ses apparitions grotesques, oubliez cette fin peu subtile, et oubliez surtout Béatrice Dalle et sa vulgarité permanente, sa nonchalance exaspérante.

Ici encore, le plat est impeccable, goûteux, rafraîchissant.En plats principaux, après maintes discussions, les cavatelli ont été éliminés par mon ami Michel, malgré les crevettes nordiques, les courgettes et le sabayon au homard. Chaque ingrédient est délicieux et nous nous sommes régalés. La carte des vins est bien équilibrée mais les vins blancs et rouges ont été servis sans distinction dans le même type de verre trop épais. Après quelques rénovations intelligentes pour rafraîchir les lieux et leur donner une nouvelle vie, le restaurant, rebaptisé La Belle Histoire, accueillait ses premiers clients, curieux et gourmands.Le soir de mon passage, la salle était pleine, des tablées joyeuses de personnes semblant se connaître. Une bouteille comprend 8 verres,, ça fait $120 la bouteille..!