Le bon samaritain (10,29-37). Cela confirmerait le renseignement donné dans le prologue ci-dessus que Luc serait antiochien.Paul se réfère à Luc en Col 4,14 où il l'appelle,Comment se fait-il que Matthieu grec et Luc ont utilisé conjointement, d'une part l'Évangile de Marc qu'ils ont inséré dans leur narration au point d'en faire le canevas de leur propre ouvrage, et d'autre part une source inconnue, mais commune, qu'on a baptisée du nom de « source Q » (du mot allemand.Ils ont complété ce travail par l'adjonction parallèle des récits de l'enfance, et par les résultats de leur enquête personnelle. La dernière montée à Jérusalem (9,51).XII. « De son côté Luc, le compagnon de Paul, consigna en un livre l'Évangile que prêchait celui-ci. Peut-être conformément au témoignage de Jean.Luc transpose cet épisode de Marc (3,7-12) juste après le choix des Douze, alors que Marc l'a juste avant. Deux sur trois sont propres à Luc, mais Matthieu grec a en parallèle (Mt 18,12-14) la parabole de la brebis perdue qu'il a placée dans son discours ecclésiastique.Dans la grande insertion. L'Évangile selon Luc a probablement été écrit avant la,Il commence par raconter la naissance et l'enfance de.La tradition unanime a toujours attribué à Luc, compagnon de Paul, la composition du troisième Évangile.Un ancien prologue grec de l'Évangile de Luc, daté de la fin du second siècle, décrivait ainsi la genèse (la naissance) de cet Évangile et son auteur. Les récits des apparitions du Christ, et de l'Ascension (24,9-53).La dernière modification de cette page a été faite le 4 septembre 2019 à 21:51. 1 Tm 1,3) et il a pu retourner en Grèce après le martyre de l'apôtre.On doit effectivement constater que l'Évangile de Luc et les Actes nous sont parvenus sous deux formes légèrement différentes : le texte alexandrin, ou texte reçu, et le texte dit « occidental », qui toutes les deux paraissent authentiques, de la main de Luc.Ces livres ont pu connaître deux éditions, une à Rome, à la fin de la première captivité romaine de Paul (effectivement la narration des Actes s'arrête là), et l'autre en Grèce. L'annonce de l'emprisonnement du Baptiste (3,19-20.VII. Saint Irénée notait dans son livre, l'Adversus Haereses, (vers 180). Il l'a fait en historien consciencieux, même si son œuvre demeure artisanale à bien des égards.En vrai « écrivain de la mansuétude du Christ », comme dirait Dante, il aimait à souligner la miséricorde de son Maître pour les pécheurs (l'enfant prodigue), à raconter des scènes de pardon (le bon larron, pardonné sur la croix). Le juge inique (18,1-8). N’oublions pas, en outre, que l’évangile de Luc représente le « premier tome » de l’œuvre de Luc qui se prolonge dans les Actes des Apôtres. Il le remplace par le récit d'une pêche miraculeuse, située un peu plus tard. Les foules à la suite de Jésus (6,17-19).VIII. Il s'est situé d'emblée dans une attitude très humble à leur égard, bien qu'il les ait revêtus de son style et imprégnés de sa haute spiritualité, son sens de l'Esprit.C'est pourquoi le plan que nous proposons, de Luc, fera d'abord appel à la nomination et à l'identification (supposée) de ses sources.On pourrait aisément compléter ce schéma, en nommant un par un tous les épisodes contenus dans l'Évangile de Luc (On pourrait en dénombrer jusqu'à 171).Matthieu et Luc, qui s'étaient longuement consultés à Césarée maritime vers 57-59, avaient dû décider de raconter chacun de leur côté les évangiles de l'enfance. Mt 1,16) qu'une généalogie officielle et supposée.Saint Irénée a défendu vigoureusement ce point de vue, affirmant à plusieurs reprises que Marie était elle-même descendante de David et que « C'est de Marie encore Vierge qu'à juste titre il (Jésus) a reçu cette génération qui est la récapitulation d'Adam. Le choix des invités (14,12-14). Puissance de la foi (17,5-6). Et par conséquent selon ce dont il avait pu s'informer il commença à le dire à partir de la Naissance de.On trouve déjà le « Nous » dans le texte occidental des Actes, dès le temps de la fondation de l'Église d'Antioche (vers l'an 37). Lc 22,19-20) avant l’annonce de la trahison de Judas, alors que Marc (14,22-25), suivi par Matthieu (26,26-29), l'a placée après.En réalité Luc s'est servi de Marc, et de ses autres sources, en les intercalant dans des plages bien visibles, avec de nettes sutures, au point que le plan que l'on devra établir de l'évangile de Luc tiendra compte, en priorité, de ces plages, avant tout autre considération, théologique ou chronologique.Les passages de Luc que l'on peut attribuer à Marc sont donc :Soit la majorité des récits de Luc, non tous cependant, car il en a pris dans son enquête personnelle, ou même dans la source Q. Mais Marc reste le guide et le prototype de son livre.Mais Luc, à la différence de Matthieu, a pratiqué de grandes coupes dans la narration de Marc.Notons surtout la grande omission de Mc 6,45–8,26 qui inclut la seconde multiplication des pains ; l'étape en Pérée et la question sur le divorce (Mc 10,1-12) ; la demande des fils de Zébédée (Mc 10,35-45) ; le figuier stérile et desséché (Mc 11,12-14.20-26) ; le plus grand commandement (Mc 12,28-34), etc.Cette date n'est pas à placer avant 70, date de la.Luc s’est servi de Marc, et de ses autres sources, en les intercalant dans des plages bien visibles, avec de nets points de suture, au point que le plan que l’on devra établir de Luc tiendra compte, en priorité, de ces plages, avant tout autre considération (de théologie ou de chronologie).À part Marc, dont on connaît le texte, les sources de Luc sont toutes supposées, et même incertaines.
Bien entendu, le résumé de l’Évangile de Luc ne peut que donner les points essentiels du texte et ne peut en aucun cas le remplacer. S'il était dans la,Même incertitude. Le figuier stérile (13,6-9).